Le curé Colin Valérien
Sans jeux de mots...
Colin Valérien
Curé en 1642 il subit la même taxe que son prédécesseur 10 francs
barrois pour prendre possession de sa cure.
En 1654 il s'opposa juridiquement, de concert avec le
marguiller de la fabrique à une vente d'immeuble, afin de récupérer la
somme de cent francs barrois de fondation, faite par Madame de Boncourt
dont les derniers avaient été touchés par Guyard doyen de Mouzon et
curé de Pouilly.
Il engagea Robert Arnould qui avait été injurié et maltraité par trois
autres particuliers du village de s'accommoder avec eux par un acte
qu'il signa avec les parties intéressées le 11/09/1656.
Le 30/04/1657, sur la demande qu'il avait formée en justice
conjointement avec Alexandre Pierrard et Perrotin Gobert marguilliers de
la fabrique, les Jean Doc, Jacques Neveux, Gérard de Lonnois, Anthoine
Pithier, Jean Habran et André Doc reconnurent qu'ils devaient le cens
légué à la fabrique par d'Astenois. (sans doute Garlache d'Assenois).
Il cessa d'être curé de Pouilly vers 1660.