Les sources de tout
cela...
Du village
Il en existe bien peu, la mairie ayant brûlé accidentellement en
1917.
L'ordonnance de Villers-Cotterêts le 10 août
1539, rendait
obligatoire
la tenue des registres paroissiaux par les curés des paroisses :
ceux-ci devaient dès lors enregistrer tous les baptêmes.
L'ordonnance de Blois en 1576 imposait quant à elle la tenue des
registres des mariages et des sépultures, mais Pouilly ne deviendra
français qu'en 1641.
En 1667, l'ordonnance de Saint-Germain-en-Laye prescrit une tenue
obligatoire des registres en deux exemplaires : la minute conservée par
le curé et la grosse (copie) qui doit obligatoirement être déposée
chaque année au greffe du bailliage.
L'écriture des registres paroissiaux et de tous les actes officiels sur
du
papier timbré devient obligatoire dès 1673. Il faut
désormais
rédiger les actes et les copies d'actes sur du papier pré-marqué d'un
symbole particulier pour chaque généralité. Il s'agit de l'ancêtre du
timbre fiscal sur lequel est inscrit la valeur de la taxe. Cette
nouvelle taxe est à la charge du curé, qui souvent écrit les actes sans
détails pour économiser le papier. Pour les mêmes raisons, les décès
d'enfants morts-nés, ou en bas âge ne sont pas toujours inscrits. A
Wiseppe par exemple le curé indique sur l'acte de naissance le décès de
l'enfant, mais ne crée pas d'acte.
Les
protestants et juifs, (Mais en existaient-ils à Pouilly) ne sont
bien sûr pas dans les actes de catholicité.
Malheureusement ces bonnes dispositions ne seront pas toujours suivies
d'effet. Le curé
Blanchot
était un spécialiste de l'à-peu-prés...
Les tout premiers actes commençaient en 1667 comme on le voit lors de
l'
enquête épiscopale à laquelle répond Polonceau vers
1770. Mais ils
furent perdus.
Les actes BMS sont heureusement conservés aux AD de Bar-le-Duc et
commencent donc en
1673.
Les registres sont microfilmées et sur internet.
Il y manque tout de même les années 1674,1675,1697,1699 à 1704, 1730 à
1737 et 1792 à 1795.
Les feuillets de l'année 1720 sont un peu en vrac, mais complets.
En 1792 les registres sont repris par la mairie, avec le nouveau
calendrier "révolutionnaire".
La rigueur de ce nouveau régime, nous fait regretter les menus
détails qu'inscrivaient les curés. Les parrains et marraines ne sont
bien sûr plus indiqués.
L'écriture, plutôt appliquée, des curés est remplacée par celle
d'administrateurs communaux souvent peu instruits. Les erreurs sur
l'âge des témoins sont nombreuses !
En 1816 les archives de 1730 à 1736 existaient encore. En effet sur
l'acte de mariage de Vincent Durlet à Mouzon, le décès de sa grand-mère
Poncette Pierrard est cité.
En 1808 les archives de l'année 1794 existaient également. (Voir l'acte
de
mariage de Jean-Baptiste Gobert et Anne Thérèse Adnesse du 02/05/1808.
(AD55
Pouilly 1802-1812 104/174).
Le volume 1796-1807 a longtemps trainé à la poste (actuel bureau de la
mairie) et servi de cahier de
dessin. Voir les pages 9,11,12,13 et bien d'autres etc. sans que les
municipalités d'alors n'y trouvent à
redire. Il y manque donc une quantité de pages. (An VII et an VIII par
exemple).
Alain Martinet qui a fait le
relevé des actes de Pouilly n'a apparemment pas eu accès à ce volume.
La période
contemporaine est à la mairie de Pouilly.
Mais ces archives sont elles sécurisées ?
Quelques feuillets d'actes de catholicité, mais récents sont aux
archives communales de Stenay. (Philippe Voluer).
Sans doute récupérés quand le presbytère a été abandonné.
Une partie est reconstituée et parfois erronée. De plus le curé Adolphe
Auguste Bontemps est assez fantaisiste. Erreur de date, de noms de
prénoms etc.
Les listes des votants sont parties en fumée en 1917. On ne
sait donc pas qui, par l'argent avait le droit de vote. (les censiers).
Cela
aurait permis de situer nos ancêtres dans la pyramide des fortunes. La
contribution "volontaire" de 1791 permet tout de même et au moins pour
cette période de connaître la richesse de nos aïeux.
Les
maires et adjoints sont connus par les actes qu'ils ont signés.
Les listes électorales, libres de consultation, permettent d'approcher
notre siècle.
En 2020 l'Insee a mis en ligne les décès depuis 1970.
Concernant la paroisse, les
visites ordonnées par l'évêché sont des
sources intéressantes. Elles sont à rechercher aux AD51 à Reims ou en
copies
mais peu lisibles aux AD08 4J6 G270.
La bibliothèque du diocèse de Verdun possède celle de 1902.
Pour ce qui concerne la vie communale, on trouve aux AD55 pas mal
d'éléments concernant la
vente
des biens d'émigrés, des dossiers de
travaux de reconstruction post-conflit, l'aménagement du
cimetière,
du
lavoir,
de l'
école
etc.
Pour les
ponts et particulièrement l'ancienne passerelle de
halage, j'ai
pu obtenir les plans à la DDE de Charleville par son archiviste Mr
Petitqueux en 1980, avant que ce fonds ne soit versé aux AD08 et
quelque peu peu expurgé.
La
mairie de Pouilly a récupéré de la DDE de Stenay, 4 cartons sur la
reconstruction des ponts avec plans et détails des travaux.
Pour l'administration des domaines, il faudra aussi se rapprocher des
archives de Condé à Chantilly.
Plus prés de nous le
cadastre
de 1828 et celui issu du remembrement, sont consultables en mairie ou
sur internet où aux AD à Bar-le-Duc.
Pour la ferme de
Prouilly un ouvrage incontournable, celui de Paul
Christian
Grégoire, moine d'Orval, "Une grange d'Orval en terre meusienne". (SHAM
Bar le Duc No 6 1969).
A voir aussi le "Cartulaire de l'abbaye d'Orval" de Goffinet.
(bibliothèque de Charleville et d'autres).
"Histoire de l'abbaye d'Orval" par Nicolas Tilliere imprimerie Duculot
à Gembloux, Belgique. 1927 et 1948). Je reprocherai tout de même à N.
Tilliere sa partialité.
Et les archives d'état à Arlon (AEA).
Pour la ferme de
la
Wame,
l'ouvrage de René Dumont "Voyage en France d'un agronome" édition
Marie-Thérèse Genin Librairie de Médicis 1949, malgré quelques petites
erreurs.
Les crues ont toujours frappé la population par leurs dégâts. Les
années de grand débordement sont connues par les chroniques tout au
long de la Meuse. Théophile Malicet, écrivain Ardennais, en a relevé
plusieurs.
La petite histoire nous est racontée par les journaux. Le Petit
Ardennais, numérisé et indexé par les archives des Ardennes m'a permis
de retrouver nombre d'anecdotes, condamnations, résultats d'élection
etc.
Le Petit Ardennais était l'un des principaux titres de la presse
quotidienne ardennaise. Fondé en 1880 par Emile Joseph Corneau
(1826-1906), industriel, maire de Charleville-Mézières et député des
Ardennes (1880-1893), le journal est ensuite dirigé par son fils
Georges Corneau (1855-1934).
Installé au 36 cours Aristide Briand à Charleville-Mézières, Le Petit
Ardennais change de nom et devient l'Ardennais en septembre 1944.
Incarnation de la presse radical-socialiste et laïque de l'époque,
donnant volontiers dans l'anticléricalisme au point d'être surnommé "le
Pétard", le journal acquit une suprématie locale qui dura jusqu'à
l'aube de la Seconde Guerre mondiale. Utilisant ainsi la popularité et
la forte implantation du journal qui tirait à plus de 22 000
exemplaires, l'occupant allemand en fit à compter de septembre 1942 son
instrument de propagande.
De la région
Il en existe de nombreuses et je vais forcément en oublier...
Certaines que l'on qualifiera de sûres avec quand même des réserves
(
Denain,
Fulgence Richer).
Le chanoine
Vigneron (1899-1979)
curé doyen de stenay de 1941 à 1966, fut aussi
en son temps l'historien du canton. Son "Carillon", petit journal
paroissial, a repris bien des anecdotes de nos villages. On peut
seulement lui reprocher de ne pas citer ses sources.
Ses archives longtemps "conservées" par le "Groupement archéologique"
de stenay, ont tout de même été versées aux archives communales de
cette ville en 2024. Elles ne sont pass classées, sont redondantes et
Vigneron a beaucoup copié Jeantin et Denain.
Les archives de Chantilly qui concernent le Clermontois, sont
consultables à Chantilly. (ACH).
Les archives de Bar le Duc. (AD55).
Les archives des Ardennes (AD08).
Les archives de la Marne (AD51).
Les archives de Stenay avec l'aide de
Philippe Voluer et maintenant de Nicolas Lemmer. (AC
Stenay).
Les écrits de Jean Mourroux, historien militaire de Stenay. (JM).
"Annales d'Yvoix et Carignan" par l'abbé Lequy.
Tout ce qui a été écrit sur les guerres et la liste est longue.
Service historique de l'armée de terre à Vincennes. (SHAT).
Archives de l'inspection du génie à Versailles. (AIG).
D'autres qui prêtent plus à caution car parfois fantaisistes.
Jeantin par exemple mérite une
page particulière.
Ses travaux furent cependant considérables. (JFLJ).
Les "Cahiers d'étude Ardennaises" ont réédité la "Chronique de Jean
Taté" qui si elle ne concerne pas directement notre région est tout de
même pleine de renseignements sur les guerres, la météo etc. (JT). Jean
Taté était greffier.
Très intéressante "La Chronique d'André Hubert Dameras" de
1770 à 1820. (RHA tome 12 année 1905). Dameras était manouvrier. Il
sait
écrire, mais son style n'est pas celui de Taté. (DAM).
Le "Journalier ou mémoire" de Jean Pussot né à Reims le 19/16/1544. Il
est charpentier mais instruit. Il relate les faits qu'il a vu à Reims
et sa région de 1568 à 1625, mais nous donne aussi bien des
renseignements concernant la météorologie.
Pour certains évènements régionaux (comètes, tremblement de terre
etc.), la monographie de Gesnes par Emile Victor Biguet, instituteur
dans les années 1890. Il se réfère lui même à un manuscrit du XVIII e,
dont il ne donne pas l'origine. (AD55 159 J 16)
De la Lorraine
Dom Augustin Calmet (26/02/1672-25/10/1757) " Histoire ecclésiastique
et civile de Lorraine" 1728, "Notice de Lorraine"
1756. Ouvrages consultables aux AD08 entre autres.
Les "Chroniques de Lorraine" de
François
Charton dont le site a disparu du Web et à qui j'adresse mes
excuses d'avoir utilisé un peu de ses données.
Malgré bien des recherches, je n'ai pu lui en demander l'autorisation.
Les archives du comte d'Herbeumont dont le site a lui aussi disparu.
(AHE).
Les archives de Condé qui concernent le Clermontois, elles, bien
consultables à Chantilly.(ACH).
Les archives de Bar le Duc. (AD55).
Denain bien sur à travers l'histoire de Stenay.
Les archives communales de Stenay. (AC Stenay).
Des gens
En ce qui concerne la population et la généalogie d'une manière
générale, les études que j'ai pu entreprendre, le dépouillement des
registres paroissiaux d'Alain
Martinet fut d'une grande utilité dans un premier temps.
J'ai dû tout de même dû reprendre depuis le début, pour compléter,
éliminer les dates de naissance calculées bizarrement et
surtout éliminer les doublons. C'est l'éternel problème des saisies
systématiques des registres sur d'anciens logiciels. Nimègue n'existait
pas encore.
J'ai dû aussi éliminer sa propre généalogie étrangère à mes recherches
sur Pouilly.
Tout est vérifiable désormais en ligne aux AD55, AD08 etc. et en partie
aux AM de Stenay.
A signaler que la législation des moins de 100 ans est désormais passée
aux moins de 75 ans.
Et que sans commentaires, les articles de journaux sont publiables.
Les actes plus récents (après 1902) ne sont pas référencés mais ont été
vérifiés.
Les registre militaires nous en apprennent un peu aussi et sont
consultables aux AD de Bar-le-Duc, Charleville et Reims. Série R.
Les registres judiciaires également en série U à Charleville mais
surtout à Bar-le-Duc.
Les anecdotes sont de sources maintenant difficilement vérifiables.
Mais les noms de gens, les circonstances n'ont pu être inventées. On
peut donc les considérer comme vraisemblables. Je pense par exemple au
retour des Sgr de Pouilly en
1792.
Les écrits de
Paul Ricadat ne peuvent être mis en doute.
Concernant la noblesse de Pouilly on pourra regarder :
"Généalogie de la famille de Pouilly". AD08 5 J 18
"Aubertin de Pouilly". AD08 2 J 220
"Famille de Pouilly". Senemaud Revue historique ardennaise 1864 page
113 à 234
"Histoire de Vouziers". Vincent page 147 AD08 K7VB
"Nécrologie de Champagne et de Brie". TII 1880 page 63 Comte Albert de
Pouilly.
"Albert Louis de Pouilly". Bouillot page 320 à 321 AD08 L1B
"Simple crayon etc." de Mathieu Husson l'écossais AD08 L3B
"Inscriptions en Ardennes". AD08 H10D
Et surtout la thèse de
Radmila
Slabakova à Grenoble en
1999, "Le destin d'une famille noble émigrée d'origine Française dans
l'empire des Habsbourg et en Tchécoslovaquie de la fin
du XVIII ème aux années trente du XX ème : Les Mensdorff-Pouilly".
C'est avec son accord que j'y ai puisé certains renseignements
concernant la famille de Pouilly.
Voici le courriel qu'elle m'avait envoyé :
"Merci beaucoup pour votre aimable message. Cela me fait un grand
plaisir de lire que vous trouvez ma thèse intéressante et peut-être
également utile pour vos recherches, même si "amateurs". Bien sur, vous
pouvez utiliser ce que vous voulez de ma thèse. Je vous serais
reconnaissante de me citer. Ma visite a Pouilly a eu lieu il y a plus
que 15 ans - j´imagine que le village a changé beaucoup.
Merci pour votre aimable offre de me servir de guide - mais je ne pense
pas de revenir a Pouilly. En tout cas mes enfants sont encore petits et
c´est toujours difficile de faire les voyages avec eux.
Je vous prie d´agréer l´expression de mes sentiments les plus sincères,
Radka Svarickova Slabakova".
Elle est aussi l'auteur de cet article :
"Les archives de famille de Mensdorff-Pouilly en Bohéme et en Moravie"
Publication: Historica. Acta Universitatis Palackianae Olomucensis -
Facultas
philosophica (27/1996)
Author Name: Slabáková, Radmila;
Language: Czech
Page Range: 117-125
No. of Pages: 9
"Les archives de famille de Mensdorff-Pouilly, déposées dans une ville
de
Klatovy en Bohême, n'ont jamais encore été classées. Pourtant, il est
possible
de diviser le fonds en trois parties, selon l'origine des pièces. Les
archives
originelles de la famille de Pouilly, transportées aux pays tchèques et
déposées au château de Nectiny, constituent la première partie du
fonds. Elles
contiennent des pièces, originaux français ou leur copies, datant du
12ème au
18ème siècle.".
J'ai contacté en 2017 les archives tchèques et voici leur réponse :
"The archival fond of Family Mensdorff-Pouilly has not a regular
inventory. It means, there is no instrument for searching in this
archival fond. We have only brief list of the archival documents of
this
fond in Czech language, which I send you in the attachment. I marked
the
references to Pouilly. There are the documents of the parish in Pouilly
1771-1790, legal documents of the burgrave of Pouilly 1418-1579 or the
case Mensdorff-Pouilly vs. inhabitants of Pouilly 1585, 1586 in the
fond. I cannot exlude, that the fond could contain more information
about Pouilly, but it is not mentioned in the attached list of the
archival documents.
The fond is not ordered and therefore usually not accessible. But we
can
make an exception for important reasons. In that case we need brief
ratification of your research from the institution, for which you study
this theme, e. g. local community, university, museum etc. Then we can
prepare you the archival documents to the research room of the State
Regional Archives in Klaster (Nepomuk) for your research
Yours faithfully
Marie Mírková
State Regional Archives Pilsen, Klaster.
Avec une lettre d'accréditation, les archives tchèques ont bien voulu
me communiquer ce qu'elles possédaient.
Je suis donc allé en mai 2018 à Nepomuk où se trouve le centre
d'archivage et suis revenu à la tête de 700 photos de documents. Un
lourd travail de lecture reste à faire.
Par contre en ce qui concerne la légende d'un
Victor
de Polliaco, M.
Sabourin, médiéviste et auteur d'un article dans "Terres Ardennaises"
a tout dit... et heureusement cassé ce mythe...
Des photos
Les photos sont ce qu'elles sont, vieillies par le temps certes mais
peuvent
difficilement mentir.
Elles proviennent essentiellement de ma famille (Vanderesse, Guichard
en bas et en haut etc.), des journaux mais aussi des
archives de Stenay, aimablement communiquées par
Philippe Voluer, ancien
archiviste.
Les photos actuelles sont pour la plupart de mon cru.
Les plans (mairie, église, cadastres etc.) sont également des AD55 mais
aussi des AM Stenay.
Les cartes sont de Cassini, Naudin etc. et visibles sur Gallica, AD54
etc.
Quant aux cartes postales, on les trouve un peu partout. Certains sites
internet allemands les proposent pour la période 14-18 à des prix
exorbitants. et j'avoue humblement en avoir piratées (mais aussi
achetées) comme dédommagement des années de prison de mes grands-père,
père, oncles etc.
En ce qui concerne les mots de l'ancien français, on peut se rapprocher
du dictionnaire de Frédéric Godefroy qu'on trouve sur internet et
Gallica.
Voir également le "Lexique historique de la France d'ancien régime" de
Guy Cabourdin et Georges Viard (Armand Colin 1990).
Pour les toponymes.
"L'origine des noms de lieu en France" de Stephane Gendron Aux éditions
Errance 2003.
"Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France" de Dauzat et
Rostaing.
Internet est d'une grande utilité dans les recherches, mais je n'ai pas
jugé pertinent de noter les adresses des sites. Tout simplement car ces
adresses varient avec le temps. Même les "permaliens" déclarés
inamovibles ont dû changer sur certains sites d'archives
départementales...
Le nom de notre village ne facilite pas les recherches. En effet il
existe une quinzaine de Pouilly en France, sans compter les nombreux
articles sur les Pouilly fuissé, fumé, Pouilly-Mensdorff et
Lévesque de
Pouilly. Ce dernier
n'ayant aucun rapport avec notre village.
Il faut aussi se méfier des sources retrouvées en boucle chez certains.
Ce n'est pas leur répétition qui leur donne une quelconque crédibilité.
Sans source on peut tout avancer...
Raconter l'histoire doit être un doute perpétuel.